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Stage pratique au Risque Pénal

Détails de la formation

Titre

Risque Pénal

Date

2025

Durée

96 heures

Obtenir des informations

    Pourquoi un stage au risque pénal

    Dans le monde d’aujourd’hui, la judiciarisation de la société prend chaque jour une ampleur sans précédent. Les procédures pénales, qui sont des outils de justice, sont désormais employées comme des instruments de déstabilisation médiatique et visent les politiques, les entreprises et leurs dirigeants. Les secrets de l’enquête et de l’instruction semblent constamment enfreints dans la presse et sur les réseaux sociaux. C’est là que l’importance de la communication sous contrainte judiciaire se dévoile. Cette expertise spécifique des agences de communication de crise, est devenue incontournable pour préserver la réputation des personnes concernées et garantir que les journalistes ne précipitent pas le jugement avant même que le tribunal ne se prononce définitivement.

    Programme de formation

    Une mise en cause judiciaire, surtout pour une personnalité du monde de la politique ou de l'économie, peut avoir des conséquences médiatiques et politiques importantes. Elle peut entraîner une perte de crédibilité, une mise à l’écart de la vie politique, et dans certains cas, des poursuites judiciaires pouvant déboucher sur des condamnations. Un stage au risque pénal devient une nécessité!

    Quelques Questions ? Cela me concerne ?

    Près de 2000 élus locaux (1979 pour être précis) ont été poursuivis au cours de la période 2014-2020. Ce qui représente une hausse de plus de 50 % par rapport à la précédente maPrès de 2000 élus locaux (1979 pour être précis) ont été poursuivis au cours de la période 2014-2020. Ce qui représente une hausse de plus de 50 % par rapport à la précédente mandature. En moyenne, un élu local fait l’objet d’une mise en cause pénale par jour. Nous estimons que ce chiffre devrait se réduire de près de 20 % au cours de la mandature 2020-2026 avec un peu plus de 1600 élus locaux qui devraient être poursuivis. Ces premières estimations restent cependant à consolider, ce d’autant qu’après une année 2020 relativement clémente, nous constatons une reprise du contentieux en 2021 avec 305 élus locaux poursuivis. ndature. En moyenne, un élu local fait l’objet d’une mise en cause pénale par jour. Nous estimons que ce chiffre devrait se réduire de près de 20 % au cours de la mandature 2020-2026 avec un peu plus de 1600 élus locaux qui devraient être poursuivis. Ces premières estimations restent cependant à consolider, ce d’autant qu’après une année 2020 relativement clémente, nous constatons une reprise du contentieux en 2021 avec 305 élus locaux poursuivis.
    Ils sont encore moins exposés que ne le sont les élus locaux : nous avons recensé 970 fonctionnaires territoriaux poursuivis dans l’exercice de leurs fonctions au cours de la mandature 2014-2020 (soit une hausse de 20 % par rapport à la précédente mandature et une moyenne de 3 fonctionnaires poursuivis pénalement chaque semaine). Comme pour les élus, alors que nous étions sur une tendance baissière depuis 2016 nous constatons une reprise des poursuites en 2021 où nous avons recensé 134 poursuites dirigées contre des fonctionnaires territoriaux (contre 108 en 2020). Pour la mandature 2020-2026, à ce jour nous estimons que ce sont plus de 747 fonctionnaires territoriaux qui devraient être poursuivis d’ici la fin de cette mandature, ce qui constituerait une baisse de 23% par rapport à ce que nous constatons sur la mandature 2014-2020. Ces chiffres restent encore à consolider et la reprise du contentieux observée en 2021 invite à la prudence.
    En principe il y a une corrélation entre les deux mais il y peut y avoir des nuances. Ainsi s’agissant des élus locaux, si les manquements au devoir de probité et les atteintes à l’honneur sont aux deux premières places dans les deux cas, les atteintes à la confiance (faux en écriture) constituent le 3e motif de condamnation alors que ce sont les atteintes à la dignité (harcèlement, discrimination, injure) qui devraient compléter logiquement le podium. Le constat est le même pour les fonctionnaires territoriaux : alors que les manquements au devoir de de probité et les atteintes à la confiance sont aux deux premières places dans les deux cas, les violences sexistes et sexuelles constituent désormais le 3e motif de condamnation des fonctionnaires alors que ce sont les atteintes à la dignité qui devraient là aussi compléter le podium si la logique avait été respectée. C’est le signe que le taux de condamnation n’est pas identique selon le type d’infractions. C’est pourquoi nous calculons un taux propre à chaque catégorie.
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